| Prijs | € 25,00 |
Uitverkocht
Paperback | Februari 2008 |
Beoordeel dit boek als eerste!Beschrijving
Fin 1942, tant pour des motifs politiques que dans un but de propagande, le gouvernement belge en exil à Londres décida de lever une seconde escadrille de chasse belge au sien de la RAF, le 349e Squadron. Initialement, cette unité était censée protéger notre colonie du Congo et ses composantes
Furent donc envoyées en Afrique. Mais, vu des dissensions locales, le 349e se retrouvera au Nigeria, tentant vaille que vaille de se constituer avec un personnel hybride et des avions largement désuets.
Au début de 1943, cette expérience ayant échoué, le 349e sera rapatrié en Grande-Bretagne pour être reconstitué avec du seul personnel belge. Une vingtaine de pilotes, des vétérans et des jeunes, permettront de rassembler un personnel volant compétent.
Les premières opérations sont lancées à la fin de 1943 mais il faudra attendre les préparatifs de l’invasion du continent et le débarquement en Normandie lui-même pour voir le N° 349
Squadron totalement engagé offensivement.
En fait, cette unité de chasse va progressivement se transformer en escadrille d’appui au sol, ses pilotes recevant un entraînement au largage de bombes et au mitraillage de colonnes ennemies. Et, effectivement, les Belges du 349e participeront à un grand nombre de missions de ce type très coûteuses en homme et en matériel, perdant pas moins de douze aviateurs tués,
huit autres étant capturés.
Attaquant les troupes allemandes en retraite tout au long de la fin de l’année 1944, bombardant les positions de la garnison retranchée de Dunkerque ou menant des actions jusque sur les Pays-Bas, le N°349 (Belgian) Squadron multipliera les missions mais connaîtra également un taux élevé de pertes.
La fin de la guerre trouvera la 349e escadrille belge sur le sol allemand. L’ouvrage s’arrête au 8 mai 1945, date de la capitulation du IIIe Reich.
Ce livre très détaillé et très richement illustré avec des photos bien à propos décrit la vie de nos compatriotes dans les deux moutures du N°349 Sq. Dans les annexes, on trouvera un relevé des dates importantes relatives à l’historique du 349 et un index onomastique indispensable pour ce type d’ouvrage.
Specificaties
Beschrijving
Fin 1942, tant pour des motifs politiques que dans un but de propagande, le gouvernement belge en exil à Londres décida de lever une seconde escadrille de chasse belge au sien de la RAF, le 349e Squadron.
Initialement, cette unité était censée protéger notre colonie du Congo et ses composantes
Furent donc envoyées en Afrique. Mais, vu des dissensions locales, le 349e se retrouvera au Nigeria, tentant vaille que vaille de se constituer avec un personnel hybride et des avions largement désuets.
Au début de 1943, cette expérience ayant échoué, le 349e sera rapatrié en Grande-Bretagne pour être reconstitué avec du seul personnel belge. Une vingtaine de pilotes, des vétérans et des jeunes, permettront de rassembler un personnel volant compétent.
Les premières opérations sont lancées à la fin de 1943 mais il faudra attendre les préparatifs de l’invasion du continent et le débarquement en Normandie lui-même pour voir le N° 349
Squadron totalement engagé offensivement.
En fait, cette unité de chasse va progressivement se transformer en escadrille d’appui au sol, ses pilotes recevant un entraînement au largage de bombes et au mitraillage de colonnes ennemies. Et, effectivement, les Belges du 349e participeront à un grand nombre de missions de ce type très coûteuses en homme et en matériel, perdant pas moins de douze aviateurs tués,
huit autres étant capturés.
Attaquant les troupes allemandes en retraite tout au long de la fin de l’année 1944, bombardant les positions de la garnison retranchée de Dunkerque ou menant des actions jusque sur les Pays-Bas, le N°349 (Belgian) Squadron multipliera les missions mais connaîtra également un taux élevé de pertes.
La fin de la guerre trouvera la 349e escadrille belge sur le sol allemand. L’ouvrage s’arrête au 8 mai 1945, date de la capitulation du IIIe Reich.
Ce livre très détaillé et très richement illustré avec des photos bien à propos décrit la vie de nos compatriotes dans les deux moutures du N°349 Sq. Dans les annexes, on trouvera un relevé des dates importantes relatives à l’historique du 349 et un index onomastique indispensable pour ce type d’ouvrage.
Initialement, cette unité était censée protéger notre colonie du Congo et ses composantes
Furent donc envoyées en Afrique. Mais, vu des dissensions locales, le 349e se retrouvera au Nigeria, tentant vaille que vaille de se constituer avec un personnel hybride et des avions largement désuets.
Au début de 1943, cette expérience ayant échoué, le 349e sera rapatrié en Grande-Bretagne pour être reconstitué avec du seul personnel belge. Une vingtaine de pilotes, des vétérans et des jeunes, permettront de rassembler un personnel volant compétent.
Les premières opérations sont lancées à la fin de 1943 mais il faudra attendre les préparatifs de l’invasion du continent et le débarquement en Normandie lui-même pour voir le N° 349
Squadron totalement engagé offensivement.
En fait, cette unité de chasse va progressivement se transformer en escadrille d’appui au sol, ses pilotes recevant un entraînement au largage de bombes et au mitraillage de colonnes ennemies. Et, effectivement, les Belges du 349e participeront à un grand nombre de missions de ce type très coûteuses en homme et en matériel, perdant pas moins de douze aviateurs tués,
huit autres étant capturés.
Attaquant les troupes allemandes en retraite tout au long de la fin de l’année 1944, bombardant les positions de la garnison retranchée de Dunkerque ou menant des actions jusque sur les Pays-Bas, le N°349 (Belgian) Squadron multipliera les missions mais connaîtra également un taux élevé de pertes.
La fin de la guerre trouvera la 349e escadrille belge sur le sol allemand. L’ouvrage s’arrête au 8 mai 1945, date de la capitulation du IIIe Reich.
Ce livre très détaillé et très richement illustré avec des photos bien à propos décrit la vie de nos compatriotes dans les deux moutures du N°349 Sq. Dans les annexes, on trouvera un relevé des dates importantes relatives à l’historique du 349 et un index onomastique indispensable pour ce type d’ouvrage.
